Tome 20 - Mythique est le vingtième Tome introduit dans Dead by Daylight qui s'est ouvert le 16 juillet 2024.
Il est accompagné par la Faille 20, qui sera ouverte jusqu'au 8 Octobre 2024
Aperçu[]
Tome 20 ajoute de nouveaux Lore pour les personnages suivants :
Personnage | Entrée d'Histoire |
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L'Esprit | Rin Yamaoka Fragments de Souvenirs |
Yui Kimura | Yui Kimura Fragments de Souvenirs |
L'Observateur | La Maison d'Arkham (X) Hors des Ténèbres |
Il contient également des défis basés sur les personnages pour les personnages suivants :
Dates de Sortie des Niveaux de Tome[]
- Il convient de noter qu'en raison de la façon dont Dead by Daylight arrondit ses timers en jeu à l'entier inférieur, le timer en jeu de la fermeture de la Faille Fermée est toujours décalé de -1 jour par rapport aux jours du tableau ci-dessus.
Les jours de sortie et de fermeture sont toujours un mardi @ 17:00 UTC.
Souvenirs et Journaux[]
Rin Yamaoka: Fragments de Souvenirs[]
Souvenir 3916[]
Son père est assis face à elle, mangeant son dîner en silence. Rin lui jette parfois un coup d’œil, tout en évitant de le fixer du regard. Il y a quelque chose de différent en lui. Il n’a jamais été particulièrement bavard après le travail, mais quelque chose semble le préoccuper. Il joue avec son repas de manière agressive et marmonne dans sa barbe, comme s’il répondait à quelqu’un. Sa mère fait comme si tout allait bien et demande à Rin comment s’est passée sa journée. Bien. Elle déplace un morceau de viande d’un côté de son assiette à l’autre. Un mensonge, mais la dernière chose dont sa mère a besoin, c’est d'ajouter à ses inquiétudes. Elle non plus n’a pas été elle-même ces derniers temps. Elle a du mal à se réveiller, et Rin l’a entendue pleurer à plusieurs reprises. Une fois son repas terminé, elle débarrasse la table et se rassoit pour terminer ses devoirs. T'es-tu entraînée aujourd’hui ? La voix paternelle la fait grimacer. Chaque syllabe est hachée et tranchante. Je le ferai après ça. Pendant un instant, son visage se tord de rage, mais il la réprime presque immédiatement. Assure-toi de le faire.
Souvenir 4058[]
Rin est assise sur le sol en bois. Les murs autour d’elle changent et se déforment. La pluie tombe sur sa tête, malgré le plafond au-dessus d’elle. Un fracas ressemblant au bruit du tonnerre ou à un accident de voiture retentit derrière elle. Elle tourne la tête brusquement. Une porte se tient désormais là où il y avait autrefois un mur. Et debout dans l’embrasure de la porte, une silhouette armée d’une épée. Rin se lève d’un bond et commence à courir. Le sol passe du bois lisse à du béton coulé et glissant, chaque pas nécessitant toute son attention pour éviter la chute. Elle entend un faible sifflement au-dessus du bruit de ses pas. Elle jette un coup d’œil par-dessus son épaule. La silhouette se rapproche d’elle. Une racine noueuse perce le béton avant d’accrocher son orteil, puis Rin tombe au sol. La douleur lui traverse les coudes et les genoux. Elle essaie de s’éloigner en rampant, mais une main attrape sa cheville et la tire en arrière. Elle se tourne sur le dos et lève les mains dans une pathétique tentative pour se défendre. Elle lève les yeux. Son père. C’est bien lui, mais pas tout à fait... Son visage est tordu, déformé par un horrible rictus. Il prend l’épée et la lève, tout comme elle l’a elle-même appris, se préparant à porter un coup mortel. Le sifflement est maintenant accablant. Sa bouche bouge, mais elle n’entend aucun mot. Elle n’entend que le sifflement. Dans l’obscurité derrière lui, elle aperçoit une grande forme blanche se déplacer à une vitesse terrifiante. Elle essaie de la pointer du doigt, de le prévenir. Il se contente de sourire, l’épée au-dessus de sa tête. Elle distingue enfin la forme et son bras retombe. Un serpent. Elle essaie de crier, mais aucun son ne s’échappe. Elle regarde le serpent avaler son père tout entier, épée comprise. Rin halète pour respirer tandis qu’elle se réveille.
Souvenir 4112[]
Ce n’est qu’un rêve, Rin. La voix de sa mère est faible, mais réconfortante. Rin est assise par terre à côté de sa mère allongée dans son lit. Ça n’avait rien d’un rêve normal. Rin rapproche ses genoux de son menton et les serre contre elle. Elle n’a jamais manqué un jour de classe, mais elle a si peu dormi la nuit dernière qu’elle a l’impression qu’elle pourrait s’évanouir sur son vélo. Sa mère soupire, en partie exaspérée, en partie à cause de la douleur. Moi aussi je faisais des cauchemars. Vraiment ? À propos de quoi ? Oh, un tas de choses. À propos de ton père et de son emploi. La peur de te perdre. Parfois, c’est ton corps qui te dit que tu es trop stressée. Qu’as-tu fait pour les faire cesser ? Rien du tout. Mon cerveau a dû faire le nécessaire, et travailler sur ce qui le dérangeait. Rin regarde sa mère, qui s’est retournée pour lui faire face. Elle sourit, même si elle semble clairement souffrir rien qu'en étant à ses côtés. Par contre, les rêves d’araignées n’ont jamais cessé. Des araignées ? Oui, de grosses araignées pleines de poils, avec d’énormes yeux globuleux, qui tombaient du plafond... Sa mère tend la main et attrape le haut de la tête de Rin, lui ébouriffant les cheveux. Rin se recule brusquement en riant. Maman ! Rin, aujourd’hui, je veux que tu ne fasses rien du tout. Pas de devoirs, pas d’exercices. Détends-toi et rien de plus. Je te promets que ça va passer.
Souvenir 4175[]
Il parait que la pluie peut être une chose positive. Rin lève les yeux de son repas pour regarder Nanami. Le livre d'interprétation des rêves est posé sur son genou, tandis qu’une boîte à bento tient en équilibre sur son autre jambe. Comme le fait que la pluie du printemps est synonyme de nouveau départ. Chiaki rit. Je ne pense pas que se faire pourchasser par une épée soit synonyme de renaissance. Que dit ton livre sur les épées ? Nanami feuillette maladroitement le livre, manquant de renverser son repas sur le sol. Ça... ne semble pas vraiment s'appliquer. Rin murmure à son amie, doucement, mais avec force. Vas-y, lis-le. Ça veut dire pouvoir. Force. Mais en général, les gens rêvent d'avoir l'épée eux-mêmes. Chiaki rit et pointe Nanami avec sa tablette de chocolat. Tu vois, Rin ? Il suffit de prendre le pouvoir. La prochaine fois que tu feras ce rêve, essaie de t'approprier le pouvoir. Je ne peux pas changer le rêve. C'est toujours la même chose. La cloche de l'école sonne, Nanami se lève d’un bond et remonte ses lunettes. Allez, on va être en retard. Chiaki pointe maintenant sa barre de chocolat vers Rin en la secouant. Des miettes jonchent le sol du couloir. Tu crois qu'elle se soucie d'être en retard ? Elle fait partie des mauvais élèves maintenant. Elle sèche l'école, n'est-ce pas, Rin ? J'étais malade. Oui, bien sûr. Malade. Je déteste le professeur Morimoto, allons-nous-en.
Souvenir 4222[]
La revoilà dans le rêve. Le sol en bois. La pluie qui tombe du plafond. Le fracas dans son dos. Cette fois, elle ne se retourne même pas. Elle sait que c’est lui. Elle se lève et commence à courir. Elle a l’impression que tout son corps est fait de gelée, comme si elle courait sous l’eau. Elle examine attentivement le sol à la recherche de la racine. Elle l’aperçoit, et tente de sauter par-dessus. Elle ne parvient jamais à éviter la racine. Celle-ci se courbe et fouette l’air, l’attrapant, et la tirant vers le sol. La douleur familière se propage au travers de ses articulations. Elle se tourne sur le dos à nouveau. Elle lève les yeux vers lui. Ce sourire encore une fois. Elle essaie de l'alerter par-dessus le crescendo du sifflement du serpent. Pourquoi ? Comme pour répondre à sa question, son père articule des mots, mais aucun son ne s'échappe. Et juste au moment où il tente de porter un coup, le serpent le dévore à nouveau, tout entier, et Rin se réveille. Elle regarde la montre à côté de son lit. Trois heures du matin. Elle sait qu’elle ne dormira pas davantage cette nuit. Alors elle se redresse, fixe le mur et attend que le soleil se lève.
Souvenir 4260[]
Face à l’insistance de sa mère, elle est encore restée à la maison aujourd’hui. Mais sa mère n’est pas en état de lui tenir compagnie. Elle a besoin de dormir. À la place, Rin erre dans la maison, faisant des allers-retours entre la cuisine, sa chambre et le salon. Impossible de décider quoi faire de sa journée. Après avoir regardé cinq ou six fois dans le réfrigérateur, elle pense au bureau de son père. Une envie irrésistible l'y emmène, et la voilà qui examine ses papiers. Elle regarde sa montre. Elle a encore pas mal de temps avant son retour. Elle prend un dossier et se met à le feuilleter. Rien d’intéressant. Elle le remet soigneusement là où elle l’a trouvé. Elle fouille le secrétaire et s’arrête soudainement lorsqu’elle voit quelque chose caché au fond. Un vieux livre relié en cuir. Elle le prend, l’ouvre. La famille Yamaoka. Et la malédiction de Yamaoka. Elle referme brusquement le livre et ressent une colère inhabituelle monter en elle. Qu’est-ce qu’il fait avec ça ? Et pourquoi le cache-t-il ? Elle ferme le secrétaire, s’assure que tout est à sa place, et se dirige vers la porte. Puis elle s’immobilise... Elle lève les yeux et regarde au-dessus de la porte. Elle ne l’avait jamais remarquée auparavant. Ou peut-être n'avait-elle jamais été là. L’épée de son rêve.
Souvenir 4306[]
Alors que les premières gouttes de pluie lui rafraîchissent le sommet du crâne, elle se rend compte qu’elle est de nouveau dans le rêve. Elle se redresse et se remet à courir. Encore la même danse. Elle court et ne cesse de courir. La racine aurait déjà dû me faire trébucher. Une peur d’un autre genre s’insinue en elle. Ce n’est pas le même endroit. Malgré la peur qu’elle ressentait, il y avait quelque chose de réconfortant dans sa prévisibilité. Alors qu’elle court, elle aperçoit une autre silhouette au loin. Elle ralentit sa course en s’approchant. La silhouette est massive, se dressant au-dessus d’elle. Elle ne l’a jamais vu auparavant, mais elle le reconnaît immédiatement. Kazan Yamaoka. Elle le regarde, et la haine l’envahit. Si seulement il était mort, elle ne serait pas là, coincée dans cette maison, avec ces responsabilités, avec ce père. Mais elle sait qu’elle ne peut rien y faire. Bientôt, son père viendra, il essaiera de la tuer, et le serpent l’en empêchera. Alors qu’elle pense à cela, Kazan dégaine son épée. Il la lui tend et fait un geste pour lui indiquer de la prendre. Pour l’utiliser afin de tuer son propre père. Elle entend les bruits de pas de son père se rapprocher dans son dos. Dans la panique, elle saisit la lame et se prépare à son attaque. Elle se retourne. Son père n’est pas seul. Un autre homme se tient derrière lui. Un homme plus âgé. Son regard semble la supplier d’arrêter. Elle ressent toute la haine de Kazan dans son dos, comme une sorte de chaleur. C’est donc le père de Kazan. Le sifflement est de retour, et derrière eux, le serpent apparaît. Elle baisse sa garde, attendant qu’il se décide à attaquer. Pour engloutir son père. Pour la réveiller. Pour fixer le mur jusqu’au lever du soleil, se traîner d'un geste à l'autre, regarder sa mère continuer à se détériorer sous ses yeux, regarder son père sombrer de plus en plus dans ce qui le ronge. Le serpent marque une pause, étudiant la scène. Cette fois, son père aussi regarde le serpent. Tous l’observent. Quelque chose en elle lui dit que c’est son moment. Elle lève sa garde à nouveau, se précipite en avant et se prépare à frapper son père, pour mettre fin à ce cycle. Puis elle s’arrête. Elle lâche l’épée. Et tout devient noir alors qu’elle est avalée tout entière.Vidéo[]
- Cette vidéo est débloquée après avoir complété tout les Défis de Maître avec ces Souvenirs/Entrée de Lore.
Yui Kimura : Fragments de Souvenirs[]
Souvenirs 6397[]
L’horloge au mur indique cinq heures du matin, et le personnel du bar retourne les chaises sur les tables. Yui regarde depuis la banquette du coin, une bouteille de saké à sa gauche et son dernier trophée à sa droite. Quand elle faisait la course, elle était dans son élément, fonçant entre les motos comme si rien au monde ne pouvait lui faire de mal, franchissant la ligne d’arrivée à toute vitesse, célébrant avec ses sœurs, les Sakura 7. Quand Yui a dit qu’elle voulait faire la fête toute la nuit, elle le pensait vraiment. Elles ont fait la tournée des bars des rues de Sakae, cherchant celui qui restait ouvert le plus tard. Une à une, ses sœurs ont fini par prendre congé, appeler un taxi et rentrer chez elles. Elle seule a tenu jusqu’au bout. Et pourtant, tout cela lui semblait vide de sens. Chaque victoire était accompagnée d’une part de douleur. Un sentiment au fond de son estomac comme s’il lui manquait quelque chose. Comme s’il lui manquait quelqu’un, dans la foule, à chaque course. Même les Sakura 7, la famille qu’elle avait choisie, ne pouvaient plus l’aider à ignorer la douleur. Et maintenant, elle est seule. Seule avec son trophée, son saké, et ses pensées. Le TK3 a lieu dans moins de deux semaines. Elle n’a pas dit à ses sœurs qu’elle n’y participera pas. Qu’elle envisage de prendre sa retraite. Le téléphone de Yui vibre à nouveau dans sa poche. Elle l’a ignoré toute la nuit, mais quelque chose la pousse à répondre à l’appel. Elle sort le téléphone de sa poche et vérifie l’identifiant de l’appelant : MÈRE. Yui réprime un frisson. Je ne reçois jamais d’appels de ma mère. Quand elle appelle, c’est toujours en début de soirée après que mon père est allé se coucher. Un appel si tôt le matin ne peut signifier que... Le visage de sa grand-mère traverse l’esprit de Yui et le frisson la submerge complètement.
Souvenirs 6425[]
Yui tient son hachimaki et observe les dédicaces de tous ceux qui l’ont signé. Les yeux gonflés et irrités, elle voit les noms de ses sœurs des Sakura 7, de ses concurrents, de ses rivaux devenus des amis, comme Shinji Tabuchi. Quand elle enroule le hachimaki autour de son bras avant une course, elle porte l’histoire de sa vie, contée au travers des noms de ceux qui en ont fait partie. Elle fixe un espace vide au centre du hachimaki et ressent l’absence de sa grand-mère. Elle était la seule de sa famille à la soutenir quand elle apprenait à réparer des motos, à les piloter, et à faire des courses. Tout ce que je suis, c’est à elle que je le dois. Je ne peux pas rater ses funérailles. Même si pour cela, je dois le revoir. L’homme qui avait été tellement blessé par sa fille souhaitant suivre sa propre voie qu’il l’avait exclue de sa vie, expulsée de chez lui. Celui qui l’a laissée se débrouiller seule. Des scènes se déroulent dans sa tête, comme un film qui n’a pas encore été réalisé. Ses parents la serrant dans leurs bras, sanglotant, lui demandant pardon pour ce qu’ils lui avaient fait. Ses parents la chassant de la maison funéraire, lui disant qu’elle n’était pas la bienvenue, tandis qu’elle les maudissait avant de partir dans le soleil couchant. Cela fait plus d’une décennie qu’elle n’a pas été dans la même pièce qu'eux. Tout est possible. Yui appuie le hachimaki contre sa poitrine tandis qu’elle fixe au travers des stores la lumière du jour qui pénètre de l’extérieur.
Souvenir 6498[]
La route de Nagoya à Hida semble bien plus longue qu’elle ne l’est réellement en raison des tunnels interminables que Yui doit traverser. Les murs se referment autour d’elle, filant sans le moindre repère. Cela fait combien de temps qu’elle chevauche sa moto ? Une heure ? Une semaine ? Tout se ressemble ici-bas. Elle longe un virage dans le tunnel et soudain, elle distingue un point de lumière au loin qui grossit, et grossit, jusqu’à ce que... La lumière du soleil submerge ses sens et qu'elle doive lutter contre le besoin de fermer les yeux. Yui relâche l’accélérateur et respire profondément. Il n’y a plus de murs. Rien que l’air frais et la forêt qui s’étend à perte de vue. Au fur et à mesure qu’ils roulent, les motards finissent par voir double. Yui garde les yeux braqués sur la route devant elle, mais elle parvient à observer les arbres qui bordent les deux côtés de l’autoroute. Les forêts aux abords de Hida étaient toujours aussi belles, surtout à cette époque de l’année, juste avant que l’été n’atteigne son apogée. C’était au cœur de ces forêts que Yui faisait de longues promenades avec sa grand-mère. Elles bavardaient. Elles riaient. Parfois, Yui se permettait de pleurer et sa grand-mère la serrait fort dans ses bras. Leurs promenades se terminaient toujours au même endroit, une clairière au bord de la falaise surplombant la vallée en contrebas. Là, elles s’asseyaient sur des rochers lisses et regardaient le soleil se coucher sur la vallée. Elle trouvait toujours la paix à cet endroit. Une forme de lucidité. C’est là qu’elle avait réalisé à quel point les motos étaient importantes pour elle. Elle aurait bien besoin d’un peu de paix en ce moment. Yui s’arrête et abaisse la béquille latérale. Les souvenirs la frappent de plein fouet. Elle peut voir leur coin spécial dans sa tête, sentir le parfum du savon de sa grand-mère, le goût des bonbons qu’elle lui donnait parfois après leurs promenades, la chaleur du soleil couchant sur son visage. Yui observe la forêt. J'ai tellement de souvenirs de cet endroit, hormis comment y arriver.
Souvenir 6311[]
Même en décélérant, le bruit strident du moteur à quatre cylindres de Yui retentit dans le silence matinal. Elle laisse la moto avancer en roue libre dans la rue étroite, regardant à gauche et à droite à la recherche de la moindre indication de la maison funéraire. Revenir à Hida après tant d’années est une réunion des plus cruelles. Elle n’a pas le temps de ressasser le passé, même si les ruelles et les boutiques devant lesquelles elle passe réveillent des souvenirs enfouis depuis longtemps. Enfin, elle arrive devant la maison funéraire et baisse sa béquille latérale. Elle se dépêche et enlève son casque et sa veste en cuir en coup de vent. Elle plaque ses cheveux humides en arrière et réajuste son chemisier, le plus beau vêtement qu’elle avait dans son placard. Elle entre dans la maison funéraire une minute avant l’heure prévue. La salle est déjà pleine de visages dont Yui se souvient à moitié. Des visages qui se tournent pour la regarder entrer. Yui s’incline de chaque côté de l’allée à chaque pas, feignant d'ignorer les murmures choqués. Qu’ils parlent. Je ne suis pas là pour eux. Je suis là pour... Un magnifique cercueil repose au fond de la pièce, entouré de fleurs. Voir le visage de sa grand-mère et son fameux air renfrogné, dans un cadre photo, plonge Yui dans le passé. Elle se souvient d'être blottie sous les couvertures, sa grand-mère au pied du lit à lui raconter des histoires. Son propre petit havre de paix. Sa mère se lève de son siège au premier rang. À côté d’elle, Yui reconnaît la calvitie de son père. Il ne bouge pas, même quand Yui se plante devant le cercueil. La douleur à l’estomac se réveille, la faisant presque tomber. Ai-je commis la plus grosse erreur de ma vie ? Sa mère s’incline, et Yui fait de même. Cette femme n’a pas bronché tandis que mon père me chassait de chez moi. Elle l’a laissé tout me prendre. Et voilà maintenant qu’elle agit comme si le passé n’avait jamais existé. Je n’ai jamais su faire semblant. Sa mère lui indique la chaise vide à ses côtés. Yui s’assied. Son père est assis à côté de sa mère, figé sur son siège, telle une façade froide et vivante. Lui non plus n’a jamais su faire semblant.
Souvenir 6443[]
La veillée funèbre se déroule sans que Yui le remarque. L’encens allumé, les prières psalmodiées... et tout sera répété le lendemain quand tout le monde reviendra pour les funérailles. Sa mère ne propose pas à Yui de rester à la maison pendant son séjour en ville. Yui ne le lui demande pas. S’il ne veut pas que je rentre à la maison, je ne vais pas le supplier. Après quelques coups de téléphone, Yui contacte l’ami d’un ami à Takayama, qui lui offre un sac de couchage et un salon quasiment vide. Mais il est encore tôt et Yui est en mission. Elle observe les sommets des montagnes lointaines au travers des arbres. Elle se revoit toute petite, marchant dans ces bois, accompagnée de sa grand-mère. Mais elle ne se souvient pas du chemin pour trouver leur coin secret. Il était au sud de la ville, le long de la route qui mène au tunnel. Je dois juste continuer de marcher vers le sud. Elle avance avec peine dans la forêt, repoussant une série de pensées envahissantes. Tu crois vraiment que ton père s’excusera ? Ou ta mère ? Imagine que tu trouves cet endroit. Que se passera-t-il alors ? Grand-mère n’y sera pas. Rentre chez toi. Arrête de te faire des illusions. Elle comprendra. La route se trouve en haut de la colline à sa gauche. Elle a toujours gardé la route sur la gauche pour éviter de se perdre. Ainsi, elle pouvait toujours faire demi-tour. Mais elle est là à présent. Les funérailles auront lieu demain. D’ici là, impossible de faire marche arrière.
Souvenir 6385[]
Depuis son piédestal, le renard de pierre fixe Yui. Elle n’avait pas prévu de s’arrêter à ce sanctuaire en bord de route. Elle ne se souvenait même pas que le sanctuaire se dressait là, le long du canal de sa jeunesse, mais quelque chose en elle l’avait poussée à faire une pause ici. Grand-mère avait l’habitude de raconter une histoire à propos de ces renards. Quelque chose qu’elle prétendait avoir vécu. Cela s’était produit dans sa jeunesse, quand la vie était plus sombre et que l’avenir semblait l’être davantage. Ces renards étaient toujours considérés comme des farceurs, mais pour sa grand-mère, ils étaient des guides. Elle avait rencontré l’un de ces renards alors qu’elle errait dans la forêt, perdue, effrayée. Il la guida, déployant sa demi-douzaine de queues pour l’inciter à s’enfoncer davantage dans les bois. Poussée par sa curiosité d'enfant, elle le suivit, sentant sa peur s’estomper à chaque nouveau pas. Du moins, jusqu’à ce que le renard disparaisse. Le renard l’avait emmenée très loin dans la forêt, avant de l’y laisser seule, plus loin de chez elle que jamais auparavant. Alors que les larmes lui montaient aux yeux, elle pouvait entendre des sanglots qui n’étaient pas les siens. Le son se rapprochait, de plus en plus. Des bras l’enveloppèrent et la portèrent chez elle. Sa mère, l’arrière-grand-mère de Yui, affirmait qu’elle n’aurait jamais songé à chercher aussi loin dans la forêt, car elle estimait que sa fille ne se serait jamais aventurée autant, mais quelque chose la guidait, l'incitait à continuer. Yui avait entendu cette histoire tellement de fois quand elle était petite qu’elle devait dissimuler sa lassitude. Mais son père, qui avait dû l’entendre encore plus que quiconque, semblait ne jamais s’en lasser. Yui jette un coup d’œil par-dessus son épaule, constate que la rue du canal est paisible, puis s'incline en vitesse devant le sanctuaire du renard, avant de `continuer son chemin
Souvenir 6310[]
Le cimetière est construit sur une colline en dehors de la ville. Yui suit le chemin en spirale, observant au passage les monuments. Son grand-père est enterré au sommet de la colline. Sa grand-mère va retourner à ses côtés. Un dernier hommage est rendu à la pierre tombale polie au sommet de la colline. Yui regarde son père déposer de l’encens, s’attardant un moment avant de retourner auprès de sa mère. Yui ne cesse de passer son plan en revue. Le service prendra fin. Elle dira au revoir à ses parents, et leur donnera une dernière chance de dire quelque chose, n’importe quoi, à propos du passé. Si quelqu’un d’autre était présent, cela pourrait les mettre dans l’embarras. Une dernière chance. On verra bien ce qui se passera après. Le service prend fin, et la foule commence à se disperser. Yui pose une main sur la tombe de sa grand-mère. Je vais avoir besoin de tout le soutien possible. Ses parents s'attardent à proximité. Yui laisse ses pieds la guider jusqu’à eux. Bon. Je vais y aller. Yui s’incline. Sa mère s’incline également, souhaitant un bon retour à sa fille. Son père s’éloigne, emportant avec lui le dernier espoir de Yui. Et c’est ainsi que le film s’achève. Sans affrontement dramatique, ni réconciliation pleine de larmes, ni catharsis permettant de tourner la page. Juste comme tout a commencé. Sa mère regarde Yui descendre la colline. Ne te retourne pas. J’ai fait mes adieux. C’est l’heure de rentrer. Ses affaires sont emballées sur le siège de sa moto. Il ne lui reste plus rien ici. Yui se frotte les yeux. Elle n’a plus de larmes. J’ai bien assez pleuré pour eux. Elle monte sur sa moto. Mes jours de pilote de course sont terminés. Mes jours de deuil pour la famille que j’aurais pu avoir sont terminés. Tout ce qu’il me reste, c’est la route devant moi. Et tout ce que je peux faire, c’est rouler.Vidéo[]
- Cette vidéo est débloquée après avoir complété tout les Défis de Maître avec ces Souvenirs/Entrée de Lore.
La Maison d'Arkham X : Hors des Ténèbres[]
La confédération des Dwyght[]
Mylo scrute la ville envahie par la végétation avec incrédulité. Les « Dwyght », comme il les appelait, étaient encore plutôt éméchés par l'alcool de contrebande qu'il avait fabriqué. La plupart d'entre eux pouvaient à peine se tenir debout et titubaient dans le brouillard qui se dissipait, chassant les moustiques, les mouches et les fichus corbeaux tout en essayant de comprendre où ils se trouvaient. Mylo avait organisé une excursion de consolidation d'équipe obligatoire afin de donner une leçon d'humilité aux « geeks » de son entreprise, qui l’avaient dénoncé au département des ressources humaines en raison d'un comportement inapproprié. Maintenant, il est coincé avec eux dans une sorte d'enfer postapocalyptique. Son plan a manifestement échoué. Son alcool les avait tous empoisonnés et il était puni. C'était son enfer personnel : être coincé avec les Dwyght pour l'éternité. Les choses ne pouvaient pas être pires – il en était sûr. Il jura dans sa barbe et donna un violent coup de pied dans une pierre. Puis, alors qu'il regardait les Dwyght trébucher dans les ruines, il réalisa soudainement que leur chef avait disparu. Pendant ce temps, dans un autre monde, Dwyght tenait sa tête endolorie entre ses mains en marchant à travers les ronces, appelant Mylo et ses collègues. Il s'arrêta brusquement lorsqu'il rencontra un épais mur de brouillard qui semblait étrangement vivant. Il ne savait pas s'il devait continuer à avancer ou faire demi-tour et s’en aller.
Arcus 10306[]
Chasseurs du Vide. Ces survivants proviennent d’un royaume perdu inexploré. Ils n’ont pas été chassés dans le Vide, mais ils ont réussi à s’échapper de leur royaume au travers d’une barrière fissurée. J’ai lu comment ces survivants chassaient les créatures sans fin du Vide, et plusieurs œuvres de fiction insinuent qu’ils ont trouvé un moyen non seulement de survivre, mais de prospérer dans une ville qu’ils ont construite à partir de déchets récupérés dans les royaumes abandonnés.
Le Bataillon Perdu[]
La guerre n'avait rien à voir avec ce qu'Evan avait lu chez lui, au domaine MacMillan. Elle n'était certainement pas honorable, avec sa misère prolongée, ses appréhensions, ses famines et ses officiers incompétents donnant des ordres aux soldats comme des moutons à l’abattoir. Et pourtant, tuer était facile pour Evan, plus facile que pour les autres soldats de sa ville. Sans comprendre pourquoi, Evan semblait aimer chasser l'ennemi plus que le cerf ou tout autre gibier. Cela semblait satisfaire un besoin dont il ignorait l’existence, jusqu'à ce qu'il défie son oncle et participe à l'effort de guerre à l'étranger. Maintenant, il ne restait plus beaucoup d'hommes dans la tranchée inondée et infestée de vermine. Ils sont tous morts ou mourants après une journée de raids et de bombardements incessants. Evan avait fait comprendre aux autres qu'il n'allait pas attendre tout bonnement la mort, et il a donc rassemblé des volontaires pour l'aider à foncer sur la tranchée ennemie à travers la zone neutre. Quinze hommes l'avaient suivi jusqu'à l'échelle de fortune. Il leur lança à tous un regard grave en abaissant un masque couvert de sang qu'il avait fabriqué à partir d'os et d'éclats d'obus pour protéger son visage des balles, des débris et des gaz toxiques. Le soldat à ses côtés inspira profondément et donna un coup de sifflet. Aussitôt, les soldats suivirent Evan hors du fossé. Avec une vitesse et une détermination incroyables, il évita les balles et les barbelés tout en réduisant la distance. Sans crainte, il bondit dans la tranchée ennemie et abattit le canonnier adverse, puis il se tourna vers les soldats ennemis qui se précipitaient vers lui avec des fusils, des épées et des pelles, paniqués et hurlant dans une langue qu'il ne comprenait pas. Et là, dans cette mêlée sans fin, Evan n'a pas cessé de donner des coups de pied et de baïonnette jusqu'à ce qu'un brouillard épais comme de la mélasse s'élève de la boue pour les engloutir tous. Lorsque le brouillard se dissipa, Evan et ses hommes se retrouvèrent dans un autre monde, un monde étrange et troublant, semblable à celui décrit dans un livre d’épouvante qu'il avait acheté à la gare. « Où sommes-nous ? », demande finalement un soldat en s'avançant à côté d'Evan. Un rugissement suivi d'un cri d'agonie retentit au loin. Evan leva son masque et réfléchit un instant. « Certainement pas à Oz... » Sa voix s'éteignit lorsqu'il vit une créature géante avec des tentacules énormes se diriger vers eux. Quelqu'un paniqua et cria quelque chose en allemand, mais Evan ne pouvait détacher son regard de l'impossible créature qui avançait dans leur direction.
Arcus 10307[]
Hahaha, très drôle. Un royaume conçu et manifesté par un diablotin espiègle poussé par sa quête incessante de divertissement. Le royaume juxtapose des survivants et des tueurs de divers mondes et époques en une parodie des Épreuves. Il paraît que le seul moyen de l’arrêter est d’écrire son nom à l’envers trois fois, mais comme dans le conte du Nain Tracassin, personne ne connaît réellement son vrai nom.
Arcus 10307[]
Bien sûr, ce n’était qu’une question de temps avant que je donne des noms aux autres chiots. J’ai nommé l’un d’eux « Sept » parce qu’il aboie toujours sept fois quand il est surpris. J’en ai nommé un autre « Bestiole » parce qu’elle passe son temps à poursuivre des scarabées, des criquets et des sauterelles dans la forêt. Et il y en a un autre que nous avons appelé « Chef », ou parfois « Chef Rhu », car il aime dire à chacun ce qu’il doit faire, et fait un sacré boucan quand les choses ne se passent pas comme il le souhaite. Le dernier chiot m’a demandé, si cela ne me dérangeait pas, de porter le nom de sa mère. Cela ne me dérangeait pas du tout, et je lui ai dit. « Merci, Boz », dit-elle. Elle n’avait pas besoin de me remercier car elle avait raison. « Willow » était le meilleur nom pour elle... Tout en elle me rappelait sa mère.
Arcus 10313[]
Les neuf symboles oubliés de Vigo. Les symboles découverts par Vigo alors qu’il méditait dans son donjon avant d’entrer de son plein gré dans la dimension vivante connue comme l’Entité. Il paraît que les symboles ouvrent des portails vers des royaumes inconnus au sein de l’Entité. Certains disent que ces symboles servent également de sortie s’ils sont utilisés dans le bon ordre.'
Saga de la Grue Rouge. Hors de l'Obscurité.[]
Saku s’éveilla dans la fraîcheur de la brume. Elle ne se souvenait pas quand elle avait arrêté de tomber, ni pourquoi elle ne s'était pas brisée comme une poupée de porcelaine contre le sol. Au contraire, elle se sentait forte, reposée, rajeunie, comme quelqu’un qui venait de se réveiller d’un sommeil profond et éternel. « Tu ne devrais pas être ici. » Une jeune Japonaise en kimono blanc et noir se matérialisa dans la brume. Saku leva les yeux vers elle. « Je suis là. » Lentement, elle se redressa tandis que la brume commençait à former des scènes de sa propre vie. Elle pouvait entendre une cacophonie de rires, de chants, de disputes et de pleurs. Elle plongea dans ce regard juvénile et reconnut la petite fille d’un souvenir partiellement oublié. « Tu es là car tu veux rentrer chez toi... retrouver ta famille. » « Tu n’es pas réelle. » « Je suis aussi réelle que tout ce qui se trouve ici. » La jeune fille fixa Saku du regard, silencieuse, patiente, immobile. Puis elle continua, « Tu as beaucoup de questions, mais celle qui t’importe le plus n’a pas de réponse. Tu veux savoir où tu te trouves. Mais tout comme il m’est impossible d’expliquer "Le Grand serpent", je ne peux t’expliquer où tu te trouves. » « Tu es l’une des Gardiens. » « Qui je suis, ce qu’est cet endroit, ou comment tout cela fonctionne, rien de tout ça n’a d’importance... » Saku se leva lentement. « Mais alors, qu’est-ce qui importe ? » « Que ça fonctionne. » Saku observa les scènes de sa vie dans la brume avant de pousser un profond soupir. La jeune fille continua, « La même obscurité qui t’a amenée ici peut te guider pour rentrer. » La jeune fille hocha la tête d’un air grave. « Tu te réveilleras dans les bras de ta mère, et tout cela ne sera qu’un mauvais rêve que tu oublieras très vite. Ou... » La voix de la jeune fille s’estompa. Saku plissa les yeux. « Ou ? » « ... Tu pourrais voyager entre les mondes et finir ce que tu as commencé. » Soudain, des cris de terreur retentirent tandis que la brume commençait à dévoiler des scènes de disciples du Serpent noir détruisant des vies tout comme ils avaient détruit la sienne par le passé. Saku ferma les yeux, prenant une profonde inspiration tremblante. Une cacophonie de rires et de cris résonnait dans sa tête. Puis soudain, les sons cessèrent, ses yeux s’ouvrirent brusquement, et elle sut exactement ce qu’elle voulait.
Vidéo[]
- Cette vidéo est débloquée après avoir complété tout les Défis de Maître avec ces Souvenirs/Entrée de Lore.
Récompenses Visuelles[]
Rin Yamaoka[]
Yui Kimura[]
L'Observateur[]
Défis[]
Niveau 1[]
Écusson de Récompense[]
Icône | Nom | Description | Collection |
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Prise du Serpent | Un générateur gardé par des crocs aiguisés comme des rasoirs. | Collection Gardiens et Ombres |
NIVEAU 2[]
Défi | Tâche | Personnage | Récompenses d'Achèvement | ||
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DÉFIS RÉGULIERS | |||||
Magnifique Démonstration | Étourdir ou Aveugler le Tueur 1 fois. | 5 | 25,000 | ||
Finis les Travaux Manuels | Purifiez 1 Totem. | 5 | 25,000 | ||
Habileté Supérieure | Obtenez 2 Excellents Tests d'Habileté. | 5 | 25,000 | ||
Acte de Foi | Sauter par dessus les Palettes ou Fenêtres en étant Poursuivi 2 fois. | 5 | 25,000 | ||
Prenez soin de vous | Soignez-vous pour l'équivalent d'1 État de Santé. | 5 | 25,000 | ||
Profondément Enseveli | Suspendez 1 Survivant dans La Cave. | 5 | 25,000 | ||
K.-O. (Remix) | Avec un équipement composé de 4 Compétences assignées au hasard, terrassez 3 Survivants'. | 5 | 25,000 | ||
De Tes Propres Mains | Tuez 1 Survivant à mains nues. | 5 | 25,000 | ||
Sauvetage ou Sacrifice | Effectuez 4 fois au total l'action correspondante en tant que Survivant ou en tant que Tueur :
|
5 | 25,000 | ||
Âge d'Argent | Gagnez 4 emblèmes de Qualité Argent ou supérieure. | 5 | 25,000 | ||
DÉFIS DE MAÎTRE | |||||
Révolu | Echappez à 1 Poursuite. | 8 | 35,000 | ||
Héros d'Argent | En tant que Survivant, gagnez 2 Emblèmes de Qualité Argent ou supérieur en 1 seule Partie. | 8 | 35,000 | ||
Le Bouclier | Subissez 1 Coup de Protection. | 8 | 35,000 | ||
Partisan Obscur | Suspendez 3 Survivants en 1 seule Partie. | 8 | 35,000 | ||
Lame Irisée | Gagnez 1 Emblème de Qualité Irisé. | 8 | 35,000 | ||
Chaos Mécanique | Endommagez 3 Générateurs differents en 1 seule Partie. | 8 | 35,000 | ||
Guerrier de Phase | Avec L'Esprit, frappez un Survivant en réapparissant 3 fois en 1 seule Partie. | 8 | 35,000 | ||
DÉFIS GLYPHE | |||||
Chercheur de Glyphes | Communiez avec 2 Glyphes Rouges. | 8 | 35,000 | ||
DÉFIS SOUVENIR CLÉ | |||||
Souvenir Clé : Pensées Errantes | Récupérez et Collectez 1 Éclat de Souvenir. | 8 | 35,000 |
Récompenses d'Achèvement[]
ÉCUSSON | |||
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Museau de renard | La tête d'une créature révérée par la famille Kimura. | Collection Gardiens et Ombres | |
DEVISE | |||
15
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Fragments de la Faille | Sert à progresser dans la Faille. |
Niveau 3[]
Défi | Tâche | Personnage | Récompenses d'Achèvement | ||
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DÉFIS RÉGULIERS | |||||
Virtuose de l'Évasion | Échappez-vous de 2 Épreuves. | 5 | 30,000 | ||
Combattant pour la Liberté | Décrochez de manière sécurisée 4 Survivants différents. | 5 | 30,000 | ||
Générosité | Soignez 3 États de Santé. | 5 | 30,000 | ||
Annihilateur Souffrant | Térassez 4 Survivants subissant un Effet de Statut infligé par vous. | 5 | 30,000 | ||
Chasseur d’Or | Gagnez 4 Emblèmes de Qualité Or ou supérieure. | 5 | 30,000 | ||
Ambition du Chasseur | Commencez une Poursuite avec 6 Survivants différents. (Requiert 2 Épreuves.) |
5 | 30,000 | ||
Sang Renversé | Gagnez 3 Emblèmes de Dévot de Qualité Or ou supérieure. | 3 | 30,000 | ||
Récompenses Sanglantes | Gagnez un total de 100,000 Points de Sang. (Les Points de Sang accordés après l'Épreuve ne sont pas comptabilisés) |
5 | 30,000 | ||
Détruire Ou Rebâtir | Effectuez 6 fois au total l'action correspondante en tant que Survivant ou en tant que Tueur :
|
5 | 30,000 | ||
DÉFIS DE MAÎTRE | |||||
Héros de Dernière Minute | Décrochez de manière sécurisée 1 Survivant une fois le Sprint Final lancé. | 8 | 50,000 | ||
Un Autre pour l'Entité | Sacrifiez 2 Survivants à L'Entité en une seule Épreuve. | 8 | 50,000 | ||
Ennemis Plus Proches | Cachez-vous à l'intérieur du Rayon de Terreur du Tueur sans vous faire prendre pendant 30 secondes au total, en une seule Épreuve. | 8 | 50,000 | ||
Destruction Minutieuse | Endommagez les Générateurs ou détruisez des Palettes abaissées 7 fois au total, en une seule Épreuve. | 8 | 50,000 | ||
Courage de Kimura | Étourdissez ou Aveuglez le Tueur 2 fois en une seule Épreuve. | 8 | 50,000 | ||
Démarrer votre moteur | Avec Yui Kimura, souyez poursuivi par le Tueur pendant 45 secondes en une seule Épreuve. | 8 | 50,000 | ||
Découpez-les | Avec Le Farceur, frappez des Survivants avec vos Lames 30 fois en une seule Épreuve. | 8 | 50,000 | ||
GLYPH CHALLENGES | |||||
Chasseur de Glyphes | Communiez avec 2 Glyphes Violet. | 8 | 50,000 | ||
CORE MEMORY CHALLENGES | |||||
Souvenir Clé : Anamnèse Terrifiante | Récupérez et Collectez 2 Éclats de Souvenir. | 8 | 50,000 |
Récompenses d'Achèvement[]
BANNIÈRE | |||
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Rêve de l'Esprit | Le père de Rin, englouti par un serpent géant. | Collection Gardiens et Ombres | |
DEVISE | |||
20
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Fragments de la Faille | Sert à progresser dans la Faille. |